|
[ NOS HOMMES QUI ONT FAIT L'HISTOIRE ] [ MES ENTREVUES ] [ SPECTACLES ] [ TAFSUT MONTREAL ] [ TADDART-IW ] [ POÉSIE ] [ ACTUALITÉS DIVERSES KABYLIE ] [ FERHAT MÉHENNI ] [ AIT-MENGUELLET ] [ G.P.K - GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE KABYLIE ] [ ARTISTES KABYLES ] [ MA CULTURE ]
|
|
|
|
TAJMILT I YEMMA
03/03/2010 22:03
N-Negh a yemma truhad Dayen ur kemzarent w-allen Ur nebni adagh tadjad Anwa ay sebran ulawen Tadjid-d lahzan mi tafghad Annagh a Yemma âzizen
Trouhad tadjid-d axam tassarmad degs att zadghad Trouhad tadjid-d tarwam Ur tanwid yidsen at farkad Trouhad tadjid laxlam Anwa fellas ay beddan
Anestru jarhante w-allan ulac win aghisabrane Yemma nestaf d g axam dayen t adjatid d ilam anwa anessoû di mawlan annegh a yemma âzizen
Sghur Tassadit Ould-Hamouda Le 10 février 2010
| |
|
|
|
|
|
|
|
LOUNIS AIT-MENGUELLET ENVOÛTE SON PUBLIC
22/02/2010 18:04
IL A ANIMÉ HIER UN CONCERT À LA SALLE ATLAS Lounis Aït Menguellet envoûte son public 22 Février 2010 - Page : 21 Lu 218 fois Le grand chanteur et poète algérien a donné, samedi dernier, un concert exceptionnel, un événement phare de la semaine. Dix-neuf ans après avoir donné un concert à l’Atlas, dans un climat délétère, marqué par la montée de l’intégrisme islamique, ‘’Da Lounis’’ revient et se produit pour la énième fois dans la même salle sise à Bab El Oued. 15 heures, soit presque une heure avant le début du concert, une foule compacte se pressait devant les portes de l’Atlas. On doit jouer des coudes pour pouvoir y accéder. D’ailleurs, ils étaient nombreux, les admirateurs de notre Brassens kabyle, qui n’ont pu y assister. Incontestablement, le concert de Lounis Aït Menguellet est l’évènement phare de la semaine. «Ça fait longtemps qu’on n’a pas vu autant de monde ici...», nous fait remarquer Karim qui habite juste à côté de la salle. 16 heures passées de quelques minutes, le spectacle commence. Ce sont ses amis, Ben Mohamed et Kamel Hamadi qui montent les premiers sur scène, pour parler de Lounis: «Nous sommes très contents qu’il soit parmi nous aujourd’hui, et on espère que ce ne sera pas la dernière fois», diront-ils. Quelques minutes après, c’est le grand artiste-poète qui fait son apparition sur scène, sous les youyous des femmes et les applaudissements de l’assistance. Même à 60 ans, le sage d’Ighil Bouhamès, à l’allure athlétique, fait vibrer son public et l’emporte dans une promenade musicale et poétique. Il entame son concert par ses fameux titres des années d’or. Tout à tour, le chanteur interprète Içhal ihedhregh fellam, (J’ai longtemps parlé de toi), Ikhef itrun (Larmes), Warasdhelmagh, ainsi que d’autres chansons qui ont fait le succès de ce fier montagnard. Le public en grand connaisseur du répertoire de cette figure de la chanson kabyle, reprend en choeur certains titres. Des chansons sentimentales, il enchaîne avec ses chansons engagées de la fin des années 1980. Tantôt à caractère politique et tantôt à caractère social, comme Achimi (Pourquoi), Amedyas (Le poète) ou encore Atas Atas Mazal El Hal, il faut dire que ces textes sont la preuve que les changements politiques en Algérie à la fin des années 1980 et puis le début de la tragédie nationale ont laissé leur empreinte sur l’oeuvre de Lounis. Dans cette période, l’artiste met en musique des textes quelque peu différents des précédents. Il écrira des poèmes, dans lesquels il abordera d’autres questions sociales et politiques. C’est au cours de cette période d’ailleurs que ce révolté fait preuve d’un engagement inaltérable en faveur de l’identité berbère du peuple algérien. A peine 19 heures, celui que Kateb Yacine considérait comme le plus grand poète algérien, quitte la scène. «J’espère qu’on aura souvent l’occasion de se rencontrer...», dira-t-il avant de saluer son public qui se disperse entonnant toujours les chansons merveilleusement interprétées par leur idole. Hadjer GUENANFA
| |
|
|
|
|
|
|
|
UN VRAI RÉGAL - AIT-MENGUELLET À L'ATLAS - 20 FÉVRIER 2010
21/02/2010 10:19
Lounis Aït Menguellet à la salle Atlas, un vrai régal

La salle Atlas était archicomble, pleine comme un œuf. Elle a connu, hier après-midi, l’ambiance des grands jours. Lounis Aït Menguellet a drainé, comme à l’accoutumée, la grande foule. Il a rassemblé, l’espace de deux heures, plusieurs générations de ses admirateurs, du grand-père au petit-fils. Un beau spectacle que celui de voir une vieille dame et sa petite-fille reprendre en chœur les œuvres du chanteur. Des familles entières ont fait de longs déplacements pour assister à l’unique concert du chanteur programmé depuis environ 8 ans à Alger. C’est son fils Djaffer, artiste plein de talent qui a donné le “la” en interprétant, à la flûte, un morceau de musique. Son père, Lounis, accueilli avec des applaudissements nourris à son entrée sur scène, a enchaîné en interprétant “Tajra ilili” (laurier rose), suivie par neuf autres chansons, dont la JSK, la chanson fétiche des supporters de l’équipe de Kabylie des années 70 et 80. Aït Menguellet a consacré la première partie du concert à ses premières chansons, celles avec lesquelles il avait débuté dans le monde artistique, il y a une quarantaine d’années, telles que A tviv dawiyi composée par Kamel Hamadi. La petite piste séparant la scène de la salle a été envahie à plusieurs reprises par les spectateurs et les spectatrices. La deuxième partie était dédiée aux chansons à textes. Un vrai régal.
Tags: Arts & Culture
| |
|
|
|
|
|
|
|
AIT-MENGUELLET À LA SALLE ATLAS - 19 ANS APRÈS
21/02/2010 10:16
Chanson. Le comeback de Lounis ait menguellet : Le barde de retour
Cet après-midi, le grand chanteur mais surtout poète, sera sur la scène de l’Atlas, vingt ans après ses fameux concerts.
Qui se souvient encore de cette année 1991 où l’art et la culture commençaient à être bannis ? Suite à des menaces islamistes, la chanteuse portugaise, Lynda de Suza, avait été obligée de reprendre sa « valise en carton », humiliation historique pour les traditions d’hospitalité de l’Algérie et camouflet à l’Etat qui l’avait invitée par l’un de ses organismes. Même les chanteurs algériens n’avaient pas échappé à cette répression morale qui annonçait des années tragiques. Là où l’on ne peut chanter, la haine et la mort ne sont jamais loins… Quand Lounis Aït Menguellet annonça un concert à l’Atlas, les menaces redoublèrent de férocité. On chuchotait à Alger que cela se terminerait par un bain de sang. C’était sans compter sur la détermination du poète et l’engouement de ses innombrables admirateurs qui se recrutent dans toutes les régions du pays, même parmi ceux qui ne comprennent pas le kabyle ou une autre version de tamazight. Il y eut non seulement un concert mais plusieurs, portés par des foules prêtes à tout pour écouter l’homme aux paroles ciselées et aux musiques authentiques.
Cette mobilisation citoyenne demeurera dans les mémoires comme un fait marquant de la résistance à l’obscurantisme, mais aussi une démonstration, rare dans le monde, de l’attachement d’un public à un artiste et à son art. Lounis Aït Menguellet est d’abord un poète qui incarne, dans les temps modernes, la sagesse et l’audience profonde de ses prédecesseurs, tels Si Mohand Ou M’hand, Mostefa ben Brahim et d’autres encore, porte-parole des espoirs et des peines de leurs frères et sœurs, témoins de leurs époques et voix des sentiments humains. Mais il est aussi un homme de cœur, toujours attentif à la détresse des autres, un véritable acteur social qui n’a jamais hésité à mettre une main sur le cœur et l’autre à la poche pour diverses œuvres et actions au bénéfice des démunis. Et c’est loin d’être une posture chez lui ou une action de marketing car, c’est souvent bien après qu’on apprend ici ou là ses bienfaits.
Né à Ighil N’bwammas en 1950, ce toujours jeune sexagénaire, écrit et compose depuis plus de quarante ans avec un talent qui ne néglige ni les paroles ni la musique toujours interprétée de manière sobre avec une économie instrumentale qui respecte le texte et s’appuie sur des mélodies qui « parlent » à tous les Algériens. Il a connu plusieurs fois l’Olympia de Paris, à partir des années 1970 où sa réputation commença véritablement à s’établir et à s’étendre en Algérie, dans l’émigration algérienne et auprès de nombreux mélomanes étrangers. L’ONCI (Office national pour la culture et l’information) qui organise ce concert, est assuré de faire le plein cet après-midi. Certains des admirateurs du poète pensent même que l’opérateur culturel pourrait programmer plusieurs concerts. Ils attendent surtout de l’artiste qu’il reprenne ses titres les plus connus et les plus aimés (difficile de choisir !) mais qu’il leur fasse le plaisir et la primeur d’une ou deux nouvelles chansons.
En effet, Lounis Aït Menguellet, a annoncé jeudi, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, qu’il préparait pour ce printemps un nouvel album auquel il ne manquerait que deux titres. Avec ce concert hautement symbolique, cette nouvelle était tellement attendue.
Salle A
Par Saïd Belazzouzi
tlas, Bab-El-Oued, samedi 20 février 2010, de 16 à 18 h
| |
|
|
|
|
|
|
|
HACENE AHRES, LE VERBE HAUT
21/02/2010 10:13
Ahrès Hacène : Le verbe haut
Toujours fidèle à son répertoire et à l’équipe de musiciens qui l’accompagne dans l’auditorium, Hacène Ahrès a su plaire au rare public venu, jeudi dernier, l’écouter au théâtre de Verdure.
Son répertoire ancien, réclamé et répété de vive voix par le public est, à l’occasion, revisité, avec toutefois des sonorités musicales toutes nouvelles. Le mot bien senti et la mise guindée, rappelant à beaucoup les galas des années 1980 et 1990, Ahrès reste cet éternel jeune qui fait la cour à sa dulcinée sans être à court d’idées. Pas la moindre ride ni même un soupçon d’hésitation. L’artiste kabyle a de qui tenir, la poésie, il s’y est imprégné tout petit dans une famille où l’on se pique à faire de la rime. Même parcours pour Ahrès, natif de Larbaâ Nath Irathen, à Tizi Ouzou : il chantera l’amour dans une société kabyle qui ne s’est jamais départie de tout conformisme. L’artiste a su plaire, à ses débuts, à une jeunesse pas toujours assouvie dans son désir de liberté.
Avec quelques artistes qui ont vite fait de s’éclipser ou de choisir d’autres genres musicaux, il chantera l’amour comme personne. Se succéderont alors plusieurs albums dans la même étoffe, avant qu’il ne décide de s’arrêter après la sortie de son album dédié aux événements qu’a connus la Kabylie... plus de quatre ans, au bout desquels il sortira un nouvel album tout aussi inspiré que les précédents et bien reçu par le public. L’impression qui se dégage pourtant de la soirée est que la musique et les textes auquels elle se rattache ne sauraient faire concurrence à la « nouvelle vague » de chanteurs qui, assure-t-on, ont perverti la musique kabyle. Qu’à cela ne tienne, des artistes comme Ahrès font toujours de la résistance. Il ponctuera la soirée par des chansons de Matoub Lounès, auquel il a consacré des textes.
Par Nadir Iddir
| |
|
|
|
|
|
|
|
Katia, la Kabylie toujours dans le coeur
15/02/2010 12:34
Hu hu a yelli
sutregh di rebbi astili
hu hu a yelli
hu hu a z-zine n tiziri
Hu hu a yelli
sutregh di rebbi astili
Hu hu a yelli
tafat a temlili
| |
|
|
|
|
|
|
|
YENNAYER AVEC TAFSUT - 2010 - 2960
10/02/2010 14:05
Yennayer 2960 célébré par l'association Kabyle Tafsut de Montréal le 16 janvier 2010 a été des plus fructueux. En effet, le programme préparé a été choisi et adapté à la circonstance.
Des invités de grande qualité, tels que M. Ferhat Méhenni, Madame Barbot du Parti Québécois, l'Association Solidarité Québec Kabylie, le Mouvement Amazigh du Québec (MAQ), des amis amazigh marocains, des amis québécois, et bien sûr notre public, toujours fidèle aux célébrations de Tafsut que nous remercions du fond du coeur.
La soirée a été ouverte par le mot de bienvenue de la responsable de l'association, en l'occurence Mme Tassadit Ould-Hamouda.
L'assistance a été interpelée pour marquer une minute de silence, en solidarité avec le peuple Haïtien.
MMe Barbot du Parti Québecois et M. Ferhat Méhenni du Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie ont été invité à dire un mot.
Les festivités ont été ouvertes par le jeune groupe de danse de Tafsut avec la danse Thala (la fontaine) afin de nous emmener vers ces montagnes et ces villages kabyles que l'on chéri tous et toutes et qui nous manquent tant. D'autres danses avec plusieurs thèmes, toujours nous reliant à notre patrie ont suivi. M. Ferhat Méhenni a été sollicité pour nous chanter au moins une chanson, ce qu'il fit avec plaisir.
Tafsut accueille pour la première fois l'artiste Amirouche, venu spécialement de la ville de Québec pour cette circonstance. Amirouche et son groupe ont chanté plusieurs chefs-d'oeuvre du grand rebelle à la grande joie des fans de Feu Matoub Lounès. Imène, la jeune artiste de Tafsut a fait vibrer la salle au rythme des chansons de fête. La jeunesse Kabyle n'a pas arrêté de l'encourager par des youyous, des cris de joie, des applaudissements, durant toute sa prestation. À la fin, Zalas a fait vibrer jeunes et vieux avec son DJ REMIX Kabyle "Spécial Nouveauté".
L'association tient à remercier tous ses invités: Mme Barbot, M. Ferhat Méhenni, Amirouche, le groupe de musique Tafsut, les groupes de danse Tafsut ainsi que tout le public. Tanemirt aux organisateurs qui ont pu gérer autant de monde (la salle contenant 350 personnes, s'est retrouvée avec plus de 500 personnes en incluant les enfants).




Imane de Tafsut




Amirouche avec Ahmed et Zalas


| |
|
|
|
|
|
|
|
SI-MOH
08/02/2010 12:04
Si Moh« Yelha cdeh n teqbaylit, acu kan taqbaylit mačči d cdeh…»
Achal d amdan i yessaramen ad issinen udem n Si Moh, ladγa ilmeẓyen-agi n tura, imi ulac teswira-s di tesfifin i d-yessufeγ, ulac diγ timeγriwen am netta am yicennayen-nniḍen. Xas akken tizlatin-is suznent u suzunent ulawen, bab-nsent yeqqim d netta i d netta ; ur t-isuzen waḍu n cciεa, ur d-icligg ma d « lweḥda neγ zzuğ.» Iwakken ad nẓer sser n « tuffra-a ines », nerza γur-s mi aγ-d-yewwi umeddakel-is, Said Ait Mouhoub yiwen seg wid ukked yesseklas u ixeddem-as diγ kra n tezlatin, asiher (rendez-vous) yid-s ; wissen amek yeqbel !!! Ad tafeḍ « yeεya di leḥsab yuγal yesseḥsab.» Mi newweḍ γer tḥanut-is, iqublaγ-d s yiwen wudem dayen kan ; yessen acḥal teswa lqima n yinebgawen γer leqbayel, netta ‘’yesεan taqbaylit deg wul’’. Syin inecdaγ γer texxam n usekles (studio d’enregistrement) anda i d-nufa iman-nneγ gar yimeddakal-is inaẓuren nezzin-d i latay d lqahwa d agraw iwakken ad nsel i tezlatin-is timaynutin ara d-yeffγen aseggas-a. Gar yisental i yefren i tezlatin-a, ad naf : tamuγli (d isem diγ n lalbum), juge, Martin (isem n userdun), aγerda, ameddaḥ, lewcam, adrar, lğehd n tizit…llant 11 n tezlatin. Deg wakken yesserqas taqbaylit, ur nebγi ara ad nebdu srid adewenni, nenna-as : ‘’mi yers leεqel ad nwali’’, nugad diγ, imi i aγ-d-yettban d amγar azemni n lweqt-a, ad aγ-teḍru am wakken : ‘’yekker γer ccix ad as-yini !!!’’. Neğğa-t yettmeslay : awal yettawi-d wayeḍ, asentel ijebbed-d gma-s. Nuγal nesteqsa-t γef wamek i d-yefren isental deg ujdid-agi i d-ihegga : Si Moh : ass-a, neγ di tallit-a yewεer ad d-temmeslayeḍ γef usentel. Yewεer ad tessiwḍeḍ izen i yimdanen akken tebγiḍ. Lewqat mxalafen ; ayen yellan zik muhab, tura yuγal dayen-nniḍen. Ma nefka-d kan lγerba d amedya ; zik ttγennin lγerba tewεer axater yal yiwen d acu n uγbel i t-yettawin γer din, zyada γef wanect-a, ur tettwaliḍ imawlan ur asen-tesselleḍ alamma yezzi-d useggas, akken wissen. Tura, lγerba ur tessewḥac ara imi anda tebγuḍ tiliḍ ad d-tqerbeḍ s ttawilat-agi n usiweḍ, yerna tuγal d asirem i wacḥal d ilemẓi ; lγerba ass-a, nezmer ad d-nini, d tagi n zdat n tewwura-nneγ, mi ara nwali wid yettqemmiren s
terwiḥen-nsen di lebḥar.
I wacuγer teqqimeḍ kan di tuffirt ?
Si Moh : nekk, ttγenniγ i yiman-iw ; xeddmeγ tuγac iwakken ad dduγ di lebγi i lebγi-w. Melmi iyi-teεğeb tezlit, ad tt-skelseγ. Tura ma teεğeb medden, dγa dayen igerrzen. Aṭas n yilmeẓyen i isellen i tezlatin-nni inek n zik akka tura, acu kan ur ak-ssinen ara. Amur ameqqran ur ẓrin ara diγ 9 tesfifin i tesεiḍ. Ilaq ad ak-issinen. Nekk icebba-yi Rebbi d ayen ixeddem unaẓur i d ṣṣeḥ mačči d netta s tidammad-is i teεna temsalt. Nekk ur xeddmeγ ara ccna iwakken ad iyi-issinen medden ; xeddmeγ-t axaṭer ḥemleγ-t. D wa i d anamek i as-fkiγ i unaẓur. Wid i ak-iḥemmlen bγan ad ak-walin di tmeγriwin, yerna d lḥeqq-nsen, anaẓur mačči n yiman-is kan ‘’iḍegger-ik-id ccna s annar’’
Ahat tesεam lḥeqq, maεna lmuhim aql-aγ la
nesseḥbibir γef yidles-nneγ iwakken ad yili wayen ara d-neğğ i tsuta i d-yettnekkaren.
Amek tettwaliḍ akka tura ccna aqbayli ?
S umata, ccna deg umaḍal akk yettwaγ; bdu-tt si Fransa, Legliz neγ Marikan. Amek tebγam ad yaf iman-is ccna aqbayli ? Yerna taqbaylit mačči d cḍeḥ, xas yelha cḍeḥ n teqbaylit. Yuγal ccna tura d ‘’self service’‘.
Di taggara, yedda-aγ di lebγi yecna-d zdat-neγ kra tezlatin tiqdimin. Ahat dγa yerẓa asalu, netta yaqqaren :
« Hubaγ-kem thubaḍ-iyi di sin nemhuba
Di sin nhuba tayri tessewḥac-aγ
Cubaγ-kem tcubaḍ-iyi di sin nemcuba
S kra n wid tezza tayri yecba γur-neγ
Hubaγ-kem thubaḍ-iyi di sin nemhuba
Di sin nhuba tayri la aγ-tessewḥac
Cubaγ-kem tcubaḍ-iyi di sin nemcuba
S kra n win tezza tayri yeqqel yettewḥac.»
Lhocine Ourezki
revenir à la rubrique "Tamazight"
| |
|
|
|
|
Commentaires