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LA KABYLIE AU SALON INTERNATIONAL DU TOURISME ET DU VOYAGE DE MONTRÉAL
25/10/2010 04:41
TAFSUT a représenté l'Afrique du Nord au Salon international du tourisme et du voyage de Montréal, le vendredi 22 octobre 2010 à 18h10. Plusieurs danses du terroir et à thème se rapportant à nos us et coutumes ont été présentées sous l'oeil émerveillé de plusieurs centaines de personnes présentes.
Animée par . Guy Richer de canal tv évasion, la place d'animation a attiré beaucoup de monde.
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ÉCOUTER LE DERNIER ALBUM DE LOUNIS AIT-MENGUELLET
05/10/2010 01:17
http://player.dzmusique.com/streaming:Tawriqt-tacebhant
Ait Menguellet - Tawriqt tacebhant ou le ressourcement vita
Encore une fois le poète a « parlé ». Et avec raison. Comme d’habitude, son CD a été très attendu. Ces dernières années ses productions deviennent très espacées. Est-ce à dire que le poète manque d’inspiration ? Sûrement pas. L’évidence la plus profane sous-tend la réalité créative du poète, assujettie à l’évolution de son art : Ait Menguellet murit, et, avec lui, murit sa poésie. Sa poétique et sa musique mêmes accusent une mutation, dans le ton et la mélodie : gnomique, solennel, mais rarement sentencieux, son verbe coule sur des airs vagabonds ou lénifiants, manifestement plus inspirés par les remous de l’âme que par la magie de sa guitare.

Dans tawriqt tacebhant (la feuille blanche), aussi bien que dans son avant dernier CD, Lounis évoque le savoir des sages de chez nous –race en voie de disparition, hélas ! Il y fait référence en tant que socle culturel où se nourrit et se construit le raisonnement du Kabyle, et qui le guide dans ses actions et ses comportements, au sein de la vie courante. Imbu de cette sagesse (de cette philosophie ancestrale), c’est à travers elle que notre poète analyse, avec la finesse qui le caractérise, la vie, la société, les rapports humains, les avatars… puis rend sa vision des choses en vers chantés, enrobés d’une rhétorique personnelle, jugée parfois hermétique au commun des auditeurs.
Hermétique ? Pas tant que ça, à en juger par la ferveur populaire qui a accueilli ce nouveau CD, en Kabylie.
En effet, sur les routes de Kabylie, rares sont les véhicules où l’on n’entend pas se diffuser Tawriqt tacebhant. De l’adolescent au plus âgé, nul n’est indifférent à la voix du poète. Chanteur transgénérationnel, s’il en est, Ait Menguellet est, aujourd’hui, de plus en plus adulé par les jeunes. Pourquoi ?
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la jeunesse kabyle a un besoin évident de ressourcement dans sa propre culture. En perte de repères, depuis des décennies, la Kabylie patauge dans un désarroi social, culturel… et linguistique. En cause, un tas de facteurs. Ce n’est pas notre propos ici, mais on peut citer, sur le plan de la chanson kabyle, les « non stop » stérilisants, éternelle rengaine de quelques mots raccommodés à la sauce de chacun, et qui ont réduit dangereusement la kabylité dans les esprits. D’autre part, la jeunesse kabyle, lasse des combats sans lendemains, apparaît blasée par un élitisme politique opportuniste et des théories politiciennes qui foisonnent hors du terrain de la réalité quotidienne (la Kabylie). Manifestement, les discours flagorneurs, qu’ils viennent du pouvoir ou d’un autre pôle idéologique n’ont plus de prise sur leur conscience maintes fois fourvoyée, meurtrie. Son reproche : lui a-ton parlé dans sa langue, à cette jeunesse kabyle, analphabétisée par l’Ecole algérienne ? Cela lui donne le sentiment d’être juste une population à conquérir pour aider à satisfaire les ambitions des uns et des autres, et non des êtres considérés pleinement dans leur existence.
Dans ce cas, les chants de Ait Menguellet viennent à point. Ils ont cette faculté de ressourcer en amenant son public à la méditation, sinon à une écoute critique… Les bouleversements sociaux, la médiocrité régnante, les conflits… assujettissent le quotidien au point de s’imposer comme normalité aux esprits sans discernement. Le cours des choses ne doit-il pas obéir à une logique ?
« …Ce que mon cœur désire Que la paix revienne Ce que mon cœur désire Que les nœuds se démêlent Ce que mon cœur désire Que les brasiers s’éteignent Ce que mon cœur désire Le déclin d’une ascension imméritée… » (ce que le cœur désire)
Bien entendu, les souffrances intimes sont là : les stigmates du temps, les déchirements dus aux aléas de la vie affectent le poète dans la profondeur de son âme. La chanson y est certes un exutoire, mais un exutoire sans relents plaintifs. Ait Menguellet transcende le lamento prosaïque des douleurs intimes, dans une poétique ponctuée d’interrogations, où le dialogue intérieur culmine dans une dialectique dispersante :
« … Je crois avoir finalement compris Pourquoi la situation est confuse Dès que je veux me mettre à écrire Ma raison bat la campagne Entraînée par des tourments Ressentant une pièce qui manquait Comment supporter la douleur de savoir malade L’un des doigts de sa main ?... » (Tawriqt tacebhant).
Aussi intime que soit sa rhétorique, l’idiolecte de Lounis prend son sens (sa teneur sémantique et sa formule) dans la langue de ses semblables. L’expression poétique de son langage conjugue la subtilité du propos avec la profondeur de l’idée développée. Sa formule est verbe et son verbe est formule. Les objecteurs de consciences, que font-ils du droit d’opinion, du respect des valeurs humaines ? « … Le père dès qu’il ouvrait la bouche Le fils se levait pour obéir Mais son professeur le retint Lui disant : repars d’où tu viens Dis à ton insolent de père Les choses ne sont plus ainsi Lorsque tu voudras m’envoyer où que ce soit Demande-moi si je suis d’accord ou pas… »
Tawrict tacevhant n’est-elle pas aussi, par analogie, l’exemple du vide culturel, la perte des valeurs, qui affecte la Kabylie, et dont le ressourcement devient vital ? La vision, en tout cas, n’est pas dénuée de vérité.
Cette œuvre d’Ait Menguellet, pleine d’enseignements, ne pourrait se contenter d’un simple article pour être présentée ou commentée. La meilleure façon de s’en imprégner c’est de l’écouter. Lounis qui se nourrit toujours du savoir de nos sages, n’est-il pas lui-même un sage de l’époque moderne ? Son œuvre en est, à juste titre, sa plus belle preuve.
Ahcène Bélarbi
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TAFSUT PRÉSENTE TAMACAHUT N NARNIA À MONTRÉAL
27/09/2010 18:25
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REPRISE DES COURS DE TAFSUT
27/09/2010 18:24
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INSTALLATION DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE KABYLIE
23/09/2010 04:54
TIMANIT I TMURT N YEQVAYLIYEN MOUVEMENT POUR L’AUTONOMIE DE LA KABYLIE MAK
INSTALLATION DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE KABYLE GPK
Le Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie est heureux d’annoncer que l’installation du Gouvernement Provisoire Kabyle (GPK) est fixée pour le mardi 1er juin 2010.
L’événement aura lieu au Palais des Congrès de Paris à partir de 18h30 en présence d’un certain nombre d’invités de marque et d’un public kabyle nombreux.
L’accès à la cérémonie se fera uniquement sur présentation d’une invitation nominative.
La presse est cordialement invitée.
Paris le 14 mai 2010 Pour le MAK-France M. Arezki Boussaid
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Journée de la femme - Kabyles de Lille
23/09/2010 04:33
J'étais par pu hasard à Lille et une amie m'a invitée à être de la célébration de la Journée de la femme.
Un souvenir inoubliable.
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La fête s’étalera du 16 au 18 septembre / Les figues à l’honneur, dès aujourd’hui, à Lemsalla
17/09/2010 04:11
Une quatrième édition qui promet au regard de l’importante production de cette année et qui permettra aux participants qui afflueront des quatre coins de Kabylie et même de certaines villes de l’intérieur du pays d’exposer et faire connaître les multiples facettes de cette culture qui, à elle seule, renvoie à une histoire, un vécu de toute une société qui s’est toujours battue pour la sauvegarde de son identité.
La quatrième édition de la Fête de la figue ouvrira ses portes aujourd’hui à Lemsalla, village des Illoula Oumalou, à quelque 65 km du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou. Organisée par l’Association culturelle Tighilt pour la quatrième année consécutive, la Fête de la figue se pose désormais comme l’incontournable manifestation culturelle qui fait rappeler toute la splendeur du patrimoine kabyle, l’originalité de sa culture et la beauté d’une région qui respire la vie dans ses moindres coins. Cette année encore, le village Lemsalla fera vivre la culture de la figue dans toute sa symbolique. Une quatrième édition qui promet au regard de l’importante production de cette année et qui permettra aux participants qui afflueront des quatre coins de Kabylie et même de certaines villes de l’intérieur du pays d’exposer et faire connaître les multiples facettes de cette culture qui, à elle seule, renvoie à une histoire, un vécu de toute une société qui s’est toujours battue pour la sauvegarde de son identité. Pour l’Association culturelle Tighilt, c’est dans le souci de perpétuer la tradition et donner une envergure régionale " et pourquoi pas " nationale, à une culture qui " s’avère menacée ces dernières années " que se tiendra cette nouvelle édition en partenariat avec les autorités locales et le comite de village ". L’Association qui prend en charge l’aspect organisationnel ajoute que c’est surtout le succès des précédentes éditions qui a motivé la démarché visant à porter la Fête de la figue au rang régional. "Cet événement reflétera toujours notre volonté et notre engagement à promouvoir cette culture ancestrale". Pour cette quatrième édition dont la programmation a été un peu décalée par rapport à l’habitude en raison du mois de carême qui a coïncidé cette année avec le mois d’Août, les organisateurs prévoient une série d’activités qui accompagneront la traditionnelle exposition de figues. L’ouverture, prévue pour ce matin, verra l’inauguration de différents stands par les autorités locales, les ruelles du village phare d’Illoula Oumalou vibreront sous le rythme d’un spectacle que donneront les différentes troupes participantes avant de laisser place dans l’après-midi à M.Amar Belkhis, pépiniériste, qui animera une table ronde autour de la valorisation de l’espace montagnard, le patrimoine matériel de Kabylie comme source de richesse. L’occasion est aussi celle de permettre aux visiteurs mais surtout aux participants de surfer sur la beauté des paysages kabyles incarnée par un village qui a su garder toute son originalité, et une visite guidée des figurerais du village. Le lendemain, place sera laissée à une cérémonie de circoncision accompagnée de chants féminins puisés du terroir. Une deuxième table ronde autour du chant féminin se tiendra avec la participation, entre autre, de Saïd Chemakh, universitaire. Un concours culturel autour de la figue est également prévue. Selon un responsable de l’Association Tighilt, le nombre de participants à cette quatrième édition pourra atteindre les cinquante. Des soirées théâtrales sont également au menu. Des artistes seront aussi à l’affiche durant les trois journées de la Fête de la figue. C’est le cas de le dire pour l’enfant de Lemsella, Zayen et Mahdi Mezeghrane. Les organisateurs et l’ensemble des villageois de Lemselaa espèrent que la quatrième édition de la figue contribuera, concrètement, à faire avancer cette culture ancestrale vers les horizons porteurs de perspectives sérieuses pour les agriculteurs, loin de toute folklorisation.
A. Z
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HOMMAGE À SI MOH OU MHAND DI PARIS (DDK
17/09/2010 04:09
Dans le cadre du 4ème festival international de la Poésie à Paris, le mercredi 29 septembre 2010 à 20 h 30, 13 poètes et comédiens de la scène francophone mondiale présentés par Djamila Kabla : Kamel Yahiaoui, Yvan Tetelbom, Claude Ber, Fadéla Chaim Allami, Philipe Tancelin, Elvire Maurouard, Nazand Beghigani, Nicole Barrière, Thanh-Vân Ton-That, Pierre Bastide, Michel Cassir, Fréderique Wolf Michaud, Jean Louis Chales, (France, Haïti ), rendent hommage à Si Mohand U M’hand poète universel, poète de légende. En disant leurs poèmes dans l’esprit du nomadisme mais également et surtout les poèmes de l’homme errant Déraciné et seul, Si Mohand U M’hand devient un poète de l’exil. Il emprunte à son expérience les thèmes de l’amour de sa terre natale, de l’amour et du destin. Le poète aurait par ailleurs juré de ne jamais répéter deux fois le même poème, de sorte que seule la mémoire populaire a permis de conserver son œuvre. Les Isefra (le mot signifie les «poèmes» en berbère, au singulier Asefru), ont été publiés sous forme de recueils à plusieurs reprises, notamment par Amar n Saïd Boulifa en 1904, Mouloud Feraoun en 1960, Mouloud Mammeri en 1969 et Larab Mohand Ouramdane au Maroc en 1997. D’autres poèmes de Si Mohand ont été recueillis et publiés à compte d’auteur à Alger en 2000 par Younes Adli. Si Mohand passa quelque 30 ans d’errance entre la Kabylie et la région de Bône (Annaba), où de nombreux Kabyles travaillaient comme ouvriers agricoles ou comme mineurs. Un autre de ses oncles, Hend N’Aït Saïd, était d’ailleurs installé dans les faubourgs de Bône. Le poète évoque «la relation entre la montagne et la plaine, les ruraux et les citadins». A noter que cette lecture spectacle sera donnée en Kabylie du 6 au 9 octobre 2010 sur invitation de la maison de la culture de Tizi-Ouzou, en collaboration avec tous les partenaires officiels de la Wilaya de Tizi-Ouzou.
< style="POSITION: absolute; TOP: 0px; LEFT: 0px" id="google_ads_frame2" height="60" marginheight="0" src="http://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?client=ca-pub-2542367963502539&output=html&h=60&slotname=2784155016&w=468&lmt=1284686597&flash=10.1.53.64&url=http%3A%2F%2Fwww.depechedekabylie.com%2Fcuture%2F86681-centre-culturel-algerien-paris-hommage-mohand-mhand.html&dt=1284686597823&shv=r20100909&jsv=r20100903&prev_slotnames=0444883972&correlator=1284686597433&frm=0&adk=108075951&ga_vid=664139426.1284686597&ga_sid=1284686597&ga_hid=872882613&ga_fc=0&u_tz=-420&u_his=2&u_java=1&u_h=1024&u_w=1280&u_ah=994&u_aw=1280&u_cd=32&u_nplug=0&u_nmime=0&biw=1259&bih=830&ref=http%3A%2F%2Fwww.depechedekabylie.com%2Fcuture%2F&fu=0&ifi=2&dtd=32&xpc=34cJLjwCGt&p=http%3A//www.depechedekabylie.com" frameborder="0" width="468" allowtransparency="allowtransparency" name="google_ads_frame" marginwidth="0" scrolling="no">>
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HOMMAGE À SI MOH OU MHAND DI PARIS (DDK
17/09/2010 04:09
Dans le cadre du 4ème festival international de la Poésie à Paris, le mercredi 29 septembre 2010 à 20 h 30, 13 poètes et comédiens de la scène francophone mondiale présentés par Djamila Kabla : Kamel Yahiaoui, Yvan Tetelbom, Claude Ber, Fadéla Chaim Allami, Philipe Tancelin, Elvire Maurouard, Nazand Beghigani, Nicole Barrière, Thanh-Vân Ton-That, Pierre Bastide, Michel Cassir, Fréderique Wolf Michaud, Jean Louis Chales, (France, Haïti ), rendent hommage à Si Mohand U M’hand poète universel, poète de légende. En disant leurs poèmes dans l’esprit du nomadisme mais également et surtout les poèmes de l’homme errant Déraciné et seul, Si Mohand U M’hand devient un poète de l’exil. Il emprunte à son expérience les thèmes de l’amour de sa terre natale, de l’amour et du destin. Le poète aurait par ailleurs juré de ne jamais répéter deux fois le même poème, de sorte que seule la mémoire populaire a permis de conserver son œuvre. Les Isefra (le mot signifie les «poèmes» en berbère, au singulier Asefru), ont été publiés sous forme de recueils à plusieurs reprises, notamment par Amar n Saïd Boulifa en 1904, Mouloud Feraoun en 1960, Mouloud Mammeri en 1969 et Larab Mohand Ouramdane au Maroc en 1997. D’autres poèmes de Si Mohand ont été recueillis et publiés à compte d’auteur à Alger en 2000 par Younes Adli. Si Mohand passa quelque 30 ans d’errance entre la Kabylie et la région de Bône (Annaba), où de nombreux Kabyles travaillaient comme ouvriers agricoles ou comme mineurs. Un autre de ses oncles, Hend N’Aït Saïd, était d’ailleurs installé dans les faubourgs de Bône. Le poète évoque «la relation entre la montagne et la plaine, les ruraux et les citadins». A noter que cette lecture spectacle sera donnée en Kabylie du 6 au 9 octobre 2010 sur invitation de la maison de la culture de Tizi-Ouzou, en collaboration avec tous les partenaires officiels de la Wilaya de Tizi-Ouzou.
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