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LA KABYLIE
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LA KABYLIE

VIP-Blog de t-ould-hamouda
archi_yves@yahoo.ca

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  • Créé le : 15/09/2008 03:13
    Modifié : 12/08/2013 15:11

    Fille (0 ans)
    Origine : Montréal
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    Ait-Menguellet - avec Hugues Aufray

    19/11/2008 23:31










    Ait-Menguellet - Vâdagh

    19/11/2008 23:30










    Ait-Menguellet - Avrid

    19/11/2008 23:28










    Ait-Menguellet - kechini ruh

    19/11/2008 23:24










    Ait-menguellet - Urdjigh

    19/11/2008 23:23










    TAFSUT - ILE SAINTE-HELÈNE

    19/11/2008 04:32

    TAFSUT - ILE SAINTE-HELÈNE







    TAFSUT À VAGUE D'AFRIQUE

    18/11/2008 20:57

    TAFSUT À VAGUE D'AFRIQUE







    MES POÈMES

    18/11/2008 02:55

    MES POÈMES







    Concert unique d’Aït Menguelet à l’Olympia

    18/11/2008 02:33

    Concert unique d’Aït Menguelet à l’Olympia


    Il se produira demain en france

    Concert unique d’Aït Menguelet à l’Olympia
    EL WATAN 25/10/2008
    Le choix de cette citadelle de la musique n’est pas fortuit. « J’ai choisi l’Olympia, car c’est une salle intimiste, pleine de chaleur et qui rapproche le public de l’artiste. » Il ajoute au téléphone : « Il y a une forme de communion dans ce lieu. Il est tout naturellement indiqué pour moi. D’ailleurs, si j’avais eu le choix, j’aurais toujours choisi des endroits du même genre. » Le « Brassens » kabyle, comme le surnomment ceux qui l’écoutent avec fidélité depuis des années, interprétera diverses œuvres qui ont marqué son riche et inépuisable itinéraire artistique.

     

    Des années 1970 avec une poésie dédiée aux tourments du cœur en passant ensuite aux revendications sociales et identitaires qui ont longtemps secoué les montagnes kabyles jusqu’aux cris de colère au profit d’une Algérie meurtrie, malmenée et trahie, le public aura droit à tous les registres. Grâce à un spectacle savamment orchestré. « Je chante un répertoire bien rodé. J’ai eu à le faire durant de nombreux spectacles en Algérie. Je suis à l’aise et je veux donc reproduire le même à l’Olympia », explique Aït Menguelet, visiblement content de retrouver son public.

    Cependant, il avertit : « ce n’est pas un retour, puisque je n’ai pas quitté la scène. Pour moi, c’est une continuité. Quand on me propose des concerts, je les fais. D’ailleurs, je me suis produit récemment à Aulnay-sous-Bois (banlieue nord de paris), à Roubaix (nord de la France) et le 30 octobre à Saint- Etienne (centre de la France). » Si dans le passé, les concerts d’Aït Menguelet en France avaient un cachet assez particulier à cause notamment de la présence de vieux immigrés esseulés parmi les spectateurs, aujourd’hui, cette différence s’est estompée avec le temps.

    Grâce aux nouvelles technologies de communication, le lien entre la rive sud et la rive nord se sont raffermis et la communauté immigrée n’est plus ce qu’elle était. Pour Aït Menguelet, chanter en Algérie ou en France, c’est désormais pareil. « Je ne tiens compte d’aucune différence sur le plan professionnel. Il n’y a pas de distinction entre le public immigré et algérien. Internet et le téléphone ont rapproché les frontières et les immigrés vivent désormais en famille, contrairement au passé où ils étaient seuls. » Idem aussi pour les répertoires.

    Avant, le poète kabyle adaptait plus ou moins ses prestations en fonction du public de Paris ou d’Alger, aujourd’hui, ce n’est plus le cas. « J’essaye juste d’alterner entre les chansons à textes et les chansons d’ambiance pour donner un caractère festif au concert. Le public et moi, nous nous comprenons bien. Quand j’interprète des chansons à textes, il écoute religieusement, à tel point qu’on pourrait entendre des mouches voler et quand je chante des chansons de fête, il se déchaîne et se démène et cela me fait énormément plaisir. » Lounis a-t-il tout dit ? Certainement pas.

    « Mais est-ce que j’arriverai à le dire ? » s’interroge-t-il. « Je n’en sais rien. J’attends l’inspiration, je n’ai pas de recette miracle. Les choses évoluent et bougent et chaque jour est une histoire », pense savoir ce versificateur qui symbolise ce fil invisible qui lie les deux rives de la méditerranée.

     
    par Yacine Farah

    Mis en ligne par le webmaster le 25 octobre 2008






    HOMMAGE À SLIMANE AZEM

    18/11/2008 00:16



    HOMMAGE AU CHANTRE DE LA CHANSON KABYLE À TOULOUSE
    «Dda Slimane: la conscience populaire»
    18 Novembre 2008 - Page : 21
    Lu 88 fois 

     

    Il espérait revenir un jour parmi les siens...

    «Rarement un artiste aura été dans une telle communion avec son public et, plus encore, avec sa terre natale. Ensuite, à lui seul, il est l’émigration personnifiée», a estimé le chanteur Idir.

    Un hommage a été rendu récemment au chanteur algérien Slimane Azem, un des grands artistes kabyles et figure légendaire de la chanson de l’émigration en France, qui vécut les 20 dernières années de sa vie dans la région de Toulouse (sud-ouest de la France), a-t-on appris dimanche auprès de l’association Tactikollectif. A travers cet hommage, qui a duré trois jours, l’association qui active à Toulouse a voulu exprimer sa reconnaissance pour «l’oeuvre et la portée de l’auteur, compositeur et interprète algérien décédé à Moissac près de Toulouse en janvier 1983», expliquent les auteurs de l’hommage. Slimane Azem, poète et chanteur kabyle est né le 19 septembre 1918 à Agouni Gueghran, il entame une disgrâce hâtive dans les tourments de l’exil. Ces immigrés qui n’ont souvent pas eu d’autre choix que de partir vivre en France, seuls et dans des conditions précaires, afin d’assurer le minimum pour leurs familles, qui vivent une autre misère de l’autre rive, vu ce qu’a enduré le peuple algérien pendant l’occupation. A cette époque, la communauté algérienne en général et kabyle en particulier, dans un entourage généralement hostile et froid, la musique par essence a toujours été considérée comme l’une de leurs missions pour la défense et l’illustration de leur patrimoine culturel, par nostalgie surtout, ils sont soucieux de jouer cette musique dans les brasseries en fin de semaine. Des airs du bled, des paroles bien tournées, métaphores agréables à faire naître le sentiment nostalgique de la mère patrie. Sa première chanson: A Mûh a Mûh consacrée à l’émigration, paraît dès le début des années 1940, elle servira de prélude à un répertoire riche et varié qui s’étendra sur près d’un demi-siècle.
    Dda Slimane déjà marqué par les déséquilibres de la vie aurait été victime d’un mal désagréable venu s’ajouter aux douleurs de l’exil que le chantre de la chanson kabyle s’était imposé, malgré lui, loin des siens. «Slimane Azem a laissé derrière lui une oeuvre monumentale et des chansons devenues de véritables témoins de la vie quotidienne, des préoccupations et de la nostalgie de ces hommes et femmes qui pensaient alors que l’exil ne durerait pas», ajoutent les initiateurs de la manifestation. «C’est de ces gens-là que Slimane Azem s’est fait le porte-parole durant toute sa vie. Et c’est une partie de l’histoire de ce pays que ses chansons racontent, parce qu’elles viennent de là, ce sont des chansons de France», soulignent-ils. Au cours des trois jours qu’a duré la manifestation, le public a assisté notamment à la projection d’un film consacré à sa vie, une table ronde et un concert donné par le chanteur algérien Idir, outre l’inauguration d’un jardin public de la commune au nom de Slimane Azem. Cet hommage de la ville de Moissac «est une reconnaissance qui est allée droit au coeur de ses proches, de tous ceux qui l’ont aimé et l’aiment encore, mais aussi une contribution à inscrire dans le patrimoine commun, l’oeuvre de cet immense artiste», expliquent les organisateurs.
    Le chanteur Idir a estimé que «rarement un artiste aura été dans une telle communion avec son public et plus encore avec sa terre natale. Ensuite, à lui seul, il est l’émigration personnifiée. Fabuliste, visionnaire, il reflète avec une précision étonnante, la conscience populaire».
    «L’hommage rendu à Slimane Azem est pour nous l’occasion de faire découvrir la culture et l’identité berbères au travers d’actions artistiques et culturelles, mais aussi aborder le thème de l’exil dans sa perception universelle», écrit le maire de la ville de Moissac, pour qui il était l’artiste dont le parcours artistique initiatique est le symbole de tous les exilés. Son riche répertoire, inspiré par sa société, la traversant en profondeur suivant ses bouleversements qu’il traduit en thématiques toutes significatives, lui permet de surfer sur plusieurs genres avec le même talent que ce soit dans le genre mystique ou les textes classiques. Même propulsé dans le gouffre du monde moderne, Slimane Azem ne s’est pas contenté de se réfugier dans le giron incertain des valeurs traditionnelles, son regard s’est grand ouvert sur le monde. Le chantre de la chanson kabyle a derrière lui une riche et passionnante carrière, avec une fidélité constante vouée exclusivement à son pays natal et l’art.

    Idir AMMOUR

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